Cinq pays impliqués dans le processus de l’alliance globale pour la résilience au Sahel et en Afrique de l’Ouest (AGIR), sont à Saly, depuis lundi, autour d’une retraite ayant pour objectif global de réunir les conditions de lancement opérationnel du processus de Dialogues Inclusifs Pays pour la formulation de Documents de Priorités Résilience Pays.
En marge de cet atelier, le Coordonnateur de la Cellule technique l’alliance Globale pour la Résilience (AGIR), Issa Martin Bikienga, a fait le point sur la validation de documents de priorités résiliences pays. Le Sénégal a entamé le processus mais il reste d’autres étapes à franchir.
« A l’étape actuelle, le Sénégal, qui a commencé son processus depuis 2014, a fait son dialogue inclusif. Ce qui lui a permis de sortir un document provisoire des priorités résiliences pays. Un grand pas a été fait du coté du Sénégal. Ce qui reste à faire c’est d’obtenir que ce document provisoire soit validé d’abord par les régions ensuite à travers un atelier national. Une fois cette étape franchie, le Sénégal pourra disposer d’un document pouvant être introduit en conseil des ministres », a indiqué le Coordonnateur de la Cellule technique l’alliance Globale pour la Résilience (AGIR), Issa Martin Bikienga.
Parallèlement, des pays comme le Togo et le Niger ont déjà validé leurs documents de priorités résiliences pays.
« Il y a aussi quatre pays qui sont en instance de validation. Cinq pays du sahel sont aussi engagés dans ce sens. On peut dire que sur les dix sept du Sahel de l’Afrique de l’Ouest, nous avons pu impliquer seize pays dans l’alliance Globale pour la Résilience (AGIR) de manière effective. Il nous reste seulement un seul pays, la Sierra-Léone, que nous n’avons pu prendre en charge. Cela fait plusieurs mois que nous sommes en train de former les points focaux des différents pays. A l’heure actuelle, on peut dire que des progrès significatifs ont été faits », a expliqué M. Bikienga.
Source : Mbour.Info
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