« Pour mes travaux champêtres, je fais désormais recours à la main d’œuvre féminine. Contrairement aux hommes, les femmes ne sont jamais pressées d’aller voir ailleurs. Elles ne laissent passer aucune herbe et en plus elles sont moins exigeantes puisqu’elles ne réclament ni thé ni cigarette en plus de la paie journalière ».
Lien : L’Observateur Paalga, 04/09/19, Province de la Kossi - La révolution silencieuse des amazones de la terre
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