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Congo-Brazzaville: Sécurité alimentaire - Un nouveau projet mis en place pour accroître l'offre de manioc au Congo

Le projet « Promotion de la filière manioc au Congo à travers l’approche Champs Écoles Paysans », dont le document a été paraphé le 13 mai à Brazzaville entre le Congo et l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), vise l’augmentation considérable de l’offre de manioc au Congo, en vue de prétendre à la baisse des prix de cette denrée sur le marché

Financé par la FAO, à hauteur de 320.000 USD, dans le cadre de son programme de coopération technique, ce projet sera mis en œuvre par le ministère de l’Agriculture et de l’Élevage, avec l’assistance de la FAO. Il couvrira dans un premier temps, les départements de la Cuvette, des Plateaux, du Pool et de la Bouenza, en raison de quatre départements par district.

Ce projet dont l’étude est déjà finalisée, vise un seul objectif principal : contribuer efficacement à l’intensification durable de la production de manioc, par l’augmentation de l’offre en matériel sain de plantation, ainsi que l’amélioration des itinéraires techniques paysans et la valorisation de la chaîne de valeur post récolte. L’objectif à court terme dudit projet, est d’accroître à partir de 2017, la production nationale de manioc, en vue de favoriser tant soit peu, la baisse des prix de cet aliment de base sur le marché.

« Nous allons installer ce programme dans une vitesse de croisière, à partir de 2015. Pour qu’à partir de 2017, on observe sur le terrain, son véritable impact. Il s’agit de l’abondance des produits sur le marché, pour envisager une décrue des prix, car il n’y a que l’augmentation de l’offre, par rapport à la demande, qui contribue à la baisse des prix des produits agricoles », a souligné le ministre de l’Agriculture et de l’Élevage, Rigobert Maboundou.

Le travail à faire pour le ministère de tutelle, consiste dans un premier temps, à mettre en place dès cette année, de grands parcs à bois (les pépinières) de manioc, afin de préparer une quantité importante de boutures de manioc améliorées, qui seront par la suite distribuées aux producteurs d’ici l’année prochaine.

L’exécution de ce projet aura comme impacts majeurs, le renforcement des capacités des cadres nationaux des services de vulgarisation et des structures décentralisées, ainsi que l’amélioration de la production durable de la culture du manioc. D’autres impacts attendus sont, entre autres, l’augmentation de la productivité du manioc et la modernisation du processus de transformation. Mais surtout il contribuera à lutter contre l’insécurité alimentaire.

Le projet « Promotion de la filière manioc au Congo à travers l’approche Champs Écoles Paysans », dont le document a été paraphé le 13 mai à Brazzaville entre le Congo et l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), vise l’augmentation considérable de l’offre de manioc au Congo, en vue de prétendre à la baisse des prix de cette denrée sur le marché

Financé par la FAO, à hauteur de 320.000 USD, dans le cadre de son programme de coopération technique, ce projet sera mis en œuvre par le ministère de l’Agriculture et de l’Élevage, avec l’assistance de la FAO. Il couvrira dans un premier temps, les départements de la Cuvette, des Plateaux, du Pool et de la Bouenza, en raison de quatre départements par district.

Ce projet dont l’étude est déjà finalisée, vise un seul objectif principal : contribuer efficacement à l’intensification durable de la production de manioc, par l’augmentation de l’offre en matériel sain de plantation, ainsi que l’amélioration des itinéraires techniques paysans et la valorisation de la chaîne de valeur post récolte. L’objectif à court terme dudit projet, est d’accroître à partir de 2017, la production nationale de manioc, en vue de favoriser tant soit peu, la baisse des prix de cet aliment de base sur le marché.

« Nous allons installer ce programme dans une vitesse de croisière, à partir de 2015. Pour qu’à partir de 2017, on observe sur le terrain, son véritable impact. Il s’agit de l’abondance des produits sur le marché, pour envisager une décrue des prix, car il n’y a que l’augmentation de l’offre, par rapport à la demande, qui contribue à la baisse des prix des produits agricoles », a souligné le ministre de l’Agriculture et de l’Élevage, Rigobert Maboundou.

Le travail à faire pour le ministère de tutelle, consiste dans un premier temps, à mettre en place dès cette année, de grands parcs à bois (les pépinières) de manioc, afin de préparer une quantité importante de boutures de manioc améliorées, qui seront par la suite distribuées aux producteurs d’ici l’année prochaine.

L’exécution de ce projet aura comme impacts majeurs, le renforcement des capacités des cadres nationaux des services de vulgarisation et des structures décentralisées, ainsi que l’amélioration de la production durable de la culture du manioc. D’autres impacts attendus sont, entre autres, l’augmentation de la productivité du manioc et la modernisation du processus de transformation. Mais surtout il contribuera à lutter contre l’insécurité alimentaire.
Le projet « Promotion de la filière manioc au Congo à travers l’approche Champs Écoles Paysans », dont le document a été paraphé le 13 mai à Brazzaville entre le Congo et l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), vise l’augmentation considérable de l’offre de manioc au Congo, en vue de prétendre à la baisse des prix de cette denrée sur le marché

Financé par la FAO, à hauteur de 320.000 USD, dans le cadre de son programme de coopération technique, ce projet sera mis en œuvre par le ministère de l’Agriculture et de l’Élevage, avec l’assistance de la FAO. Il couvrira dans un premier temps, les départements de la Cuvette, des Plateaux, du Pool et de la Bouenza, en raison de quatre départements par district.

Ce projet dont l’étude est déjà finalisée, vise un seul objectif principal : contribuer efficacement à l’intensification durable de la production de manioc, par l’augmentation de l’offre en matériel sain de plantation, ainsi que l’amélioration des itinéraires techniques paysans et la valorisation de la chaîne de valeur post récolte. L’objectif à court terme dudit projet, est d’accroître à partir de 2017, la production nationale de manioc, en vue de favoriser tant soit peu, la baisse des prix de cet aliment de base sur le marché.

« Nous allons installer ce programme dans une vitesse de croisière, à partir de 2015. Pour qu’à partir de 2017, on observe sur le terrain, son véritable impact. Il s’agit de l’abondance des produits sur le marché, pour envisager une décrue des prix, car il n’y a que l’augmentation de l’offre, par rapport à la demande, qui contribue à la baisse des prix des produits agricoles », a souligné le ministre de l’Agriculture et de l’Élevage, Rigobert Maboundou.

Le travail à faire pour le ministère de tutelle, consiste dans un premier temps, à mettre en place dès cette année, de grands parcs à bois (les pépinières) de manioc, afin de préparer une quantité importante de boutures de manioc améliorées, qui seront par la suite distribuées aux producteurs d’ici l’année prochaine.

L’exécution de ce projet aura comme impacts majeurs, le renforcement des capacités des cadres nationaux des services de vulgarisation et des structures décentralisées, ainsi que l’amélioration de la production durable de la culture du manioc. D’autres impacts attendus sont, entre autres, l’augmentation de la productivité du manioc et la modernisation du processus de transformation. Mais surtout il contribuera à lutter contre l’insécurité alimentaire.

Par Firmin Oyé

Source : Les Dépêches de Brazzaville

Crédits: AK-Project