Au Liberia, des entreprises ont obtenu, entre 2008 et 2012, de vastes étendues de terre pour y développer des plantations de palmiers à huile. Mais les tensions foncières créées par ces concessions avec les populations locales d’une part et de nouvelles règles environnementales d’autre part ont significativement empêché ces entreprises de développer leurs plantations.
Ainsi, Sime Darby, qui devait mettre en plantation 75% des 165 000 ha de sa concession en 15 ans, n’a pu planter que 10 000 ha en 8 ans.
Autre exemple, Golden Veroleum, qui devait avoir planté 30 000 ha aujourd’hui, n’a pu atteindre que 50 % de cet objectif.
Lien : MONGABAY, 10/05/17, In Liberia, a battered palm oil industry adjusts to new rules
Veille : Commission de l’UEMOA - Support technique : Hub Rural
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