D’un côté, les promoteurs du jatropha excluent l’impact négatif que pourrait avoir le développement de la culture de cette plante sur la sécurité alimentaire, car elle peut pousser sur des terres médiocres.
De l’autre, des personnes et structures mettent en question ce raisonnement. C’est le cas du SEDELAN qui a mené sa petite enquête et prend clairement position : le jatropha pousse mieux sur de bonnes terres humides, il concurrence donc les cultures vivrières.
Source : SEDELAN, 21 mars 2009, « Le jatropha ressemble beaucoup à une vache laitière : le Jatropha préfère les bonnes terres, de préférence humide ! »
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