Le vice-président du Réseau des organisations paysannes, Ibrahima Coulibaly, n’est pas content de la tournure que prennent les négociations pour la mise en place du Tarif extérieur commun (TEC) de la CEDEAO. Pour lui, la société civile, notamment le ROPPA, qui était impliquée jusque-là est mise à l’écart alors que les enjeux sont très importants pour l’agriculture africaine. Le point d’achoppement reste le niveau de protection pour le riz et le lait local.