L’IIED (International Institute for Environment and Development) a publié fin novembre 2011 une note de 4 pages consacrée aux liens entre les transactions foncières de grande ampleur et « l’accaparement des eaux ».
Les investisseurs cherchent souvent des terrains à fort potentiel de croissance, ce qui signifie des terres bénéficiant d’une bonne pluviométrie ou des terres qui peuvent être irriguées. Dans le cadre de leurs investissements de plusieurs millions de dollars, les investisseurs veulent généralement garantir leurs accès à l’eau. De nombreux gouvernements africains leur accordent pour des décennies ces droits d’eau avec peu d’égard pour la façon dont cela va influer sur les millions d’autres utilisateurs dont la subsistance en dépend.
En savoir plus et télécharger gratuitement cette note sur le site de l’IIED.
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