En ce qui concerne le plan de travail approuvé pour 2017 et en vue de renforcer le système national de sécurité alimentaire et de qualité et de faciliter le commerce régional et international, les questions SPS doivent être dûment prises en considération. À titre de suivi aux réunions précédentes, y compris : l’établissement du groupe de travail SPS institutionnel ; l’atelier régional conjoint pour développer un cadre régional de prévention, de surveillance et d’atténuation des ravageurs et des maladies de la CEDEAO, Accra, Ghana 5-7 juin 2017 et lors de la réunion consacrée à la revitalisation des comités SPS nationaux et à la consultation régionale visant à hiérarchiser les questions SPS, il a été soulignée la nécessité de rechercher la participation des entreprises du secteur privé et des jeunes (agroentreprises) aux travaux SPS.
Les conclusions des réunions régionales susmentionnées insistent sur la nécessité d’impliquer le secteur privé et les entreprises de jeunesse qui ne sont pas au courant ni informés des questions SPS et de ses avantages et obligations pour leurs entreprises. Pourtant, les acteurs du secteur privé et les entreprises de jeunes (agro-entreprises) sont des parties prenantes ciblées qui devraient utiliser la réglementation SPS et les normes techniques pour se conformer et accéder aux marchés régionaux et internationaux.
C’est en vue de combler ce vide que cet atelier a été organisé pour davantage les sensibiliser afin de les permettre de mieux comprendre les questions SPS qui pourraient avoir un impact négatif sur le commerce intra-régional et international. L’objectif étant donc de stimuler l’accès au marché et la croissance économique dans la région de la CEDEAO et en Afrique en général.
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