D’après Sidwaya, il existerait environ 6000 permis d’exploitation d’or délivrés au Burkina Faso à des sociétés étrangères. A côté de ces exploitants industriels existent plusieurs sites semi industriels et artisanaux, légaux ou clandestins.
Le quotidien a publié un article sur la concurrence foncière entre « la poussée vertigineuse des sites aurifères » et les activités agricoles dans le sud-ouest du Burkina Faso et sur la menace environnementale que représente l’orpaillage.
Lien : Sidwaya, 04/04/12, IL FAUT LE DIRE : Le grenier du Burkina menacé par le métal jaune