Pour que la faim et la malnutrition deviennent des souvenirs du passé pour des millions d’Africains, les barrières qui s’opposent au libre-échange doivent être levées et plus d’attention doit être accordée à l’agriculture.
Dans son rapport annuel 2014, Bill Gates a plaidé contre l’idée selon laquelle l’aide étrangère est un gaspillage total. Il a soutenu que l’argument selon lequel l’aide génère la dépendance est fausse si l’on observe des pays comme le Botswana, le Mexique, le Maroc, la Thaïlande, Singapour que l’on qualifiait pourtant de dépendants à l’aide. Bill Gates n’a pas manqué de souligner que des pays comme la Corée du Sud et la Chine sont maintenant des pourvoyeurs d’aide. Dans son rapport, il a reconnu qu’aucun programme n’est parfait, en soulignant qu’il existe des moyens par lesquels l’aide peut être rendue plus efficace.
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