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AGIR : les points focaux de cinq pays en formation

Des points focaux AGIR du Cap Vert, du Ghana, de la Guinée, du Libéria et du Nigéria prennent part, depuis lundi à Saly, à un atelier méthodologique de renforcement des capacités de réalisation des processus de Dialogues Inclusifs Pays (DIP) et Documents de Priorités résilience pays (PRP-AGIR).

Après le Bénin, la Mauritanie et le Sénégal en Octobre dernier, c’est au tour du Cap Vert, du Ghana, de la Guinée, du Libéria et du Nigéria de bénéficier d’un renforcement de capacités en matière de réalisation des processus de Dialogues Inclusifs Pays (DIP) et documents de Priorités résilience pays (PRP-AGIR). Cette formation permettra de réunir les conditions de lancement opérationnel du processus de Dialogues Inclusifs Pays pour la formulation de Documents de Priorités Résilience Pays.

Cet atelier méthodologique, qui prend fin jeudi 30 Avril 2015, a pour objectif global de créer les conditions de lancement opérationnel du processus DIP pour la formulation des PRP-AGIR au Cap-Vert, en Gambie, au Ghana, en Guinée, au Libéria et au Nigéria.

Selon le Coordonnateur de la Cellule technique l’alliance Globale pour la Résilience (AGIR), Issa Martin Bikienga, l’atelier vise aussi à renforcer les capacités des points focaux pays à faciliter le déroulement des DIP. De même, il ambitionne de renforcer les capacités des points focaux pays à accompagner l’élaboration de Priorités Résilience Pays (PRP) de haute qualité. E n outre cet atelier va définir, pour chaque pays, une feuille de route pour la conduite de son DIP.

Pour rappel, l’Alliance Globale pour la Résilience au Sahel et en Afrique de l’Ouest AGIR a été lancée en Décembre 2012 afin de : « réduire structurellement et de manière durable la vulnérabilité alimentaire et nutritionnelle en accompagnant la mise en œuvre des politiques sahéliennes et ouest-africaines ». en outre, elle entend permettre aux pays d’acquérir au profit de leurs groupes vulnérables de plus grandes capacités d’anticipation des chocs provocateurs de crises, de résistance aux dits chocs en cas d’atteinte, de récupération posts chocs et d’adaptation à l’évolution des conditions de disponibilité et d’accessibilité alimentaires.

Source : Mbour.Info

Crédits: AK-Project